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Modèle de réponse circularisation

Napisane przez - 14 lutego, 2019

Merci d`avoir soumis votre travail intitulé «la circularisation restaure la fonctionnalité d`ARN SRP» pour examen par eLife. Votre article a été favorablement évalué par James Manley (rédacteur principal) et deux examinateurs, dont l`un est membre de notre Conseil d`administration de révision. Nous utilisons ensuite les propriétés déterminées du mode propre pour ces modèles pour estimer les phénomènes de marée tels que la réalisation du Pseudo-synchronisme pour lequel le transfert de l`impulsion angulaire au passage du périastron est nul. Un tel État devrait être atteint, en raison de la petite inertie de la planète par rapport à celle de l`orbite, avec des échanges d`énergie ultérieurs survenant avec la planète tournant à une vitesse angulaire d`équilibre. L`inclusion des modes inertiels est importante pour déterminer cette vitesse angulaire qui s`avère être proche de celle de l`orbite au périastron. Les calculs en IP incorporant uniquement les modes f ont donné une valeur beaucoup plus élevée. Il en résulte que pour les corps ayant la même densité moyenne et la même structure auto-similaire, E2 ∝ 1/R *. En conséquence, bien qu`il puisse y avoir d`autres facteurs sans dimension pour les corps qui ne sont pas auto-similaires, nous nous attendons à ce que le transfert d`énergie soit inversement proportionnel à la taille du corps, rendant ainsi l`énergie d`oscillation induite dans une protoplanète géante sur un ordre de grandeur supérieur à celui de l`étoile. Notons également que la filature de la protoplanète et l`introduction conséquente des modes inertiels augmenteraient le transfert d`énergie vers la protoplanète par rapport à une étoile lente ou non rotative. Nous illustrons les dépendances de la densité, l`amplitude du gradient de densité et le carré de la vitesse du son pour plusieurs modèles de planète dans les figures 3 – 5. Comme on peut le voir à partir de la Fig. 3 pour une planète particulière, le rapport de la densité centrale à la densité moyenne augmente avec le rayon. Cet effet est moins important pour les modèles avec M * = 5MJ.

Enfin, nous avons demandé pourquoi le gène de l`ARN SRP a été permuté chez certaines espèces de Thermoprotéus et croient que cette observation est corrélée à l`émergence d`une fragmentation accrue du gène tRNA (Fujishima et al., 2010; Sugahara et coll., 2008; Randau et coll., 2005). On a fait valoir que la fragmentation des gènes des tRNAs peut fournir un avantage sélectif pendant l`évolution puisque les gènes de tRNA servent fréquemment de sites d`intégration virale (Randau et Söll, 2008). La présence de machines d`épissage de tRNA efficaces qui peuvent faire face à une transposition d`intron de tRNA à grande échelle est nécessaire pour maintenir la fonctionnalité d`un ARN de SRP permuté. Ainsi, il est plausible que les gènes d`ARN SRP permutés proviennent d`une variante ancestrale avec des introns BHB simples. Le mécanisme des événements de réarrangement du génome archéal n`est pas connu. Cependant, il convient de noter que les gènes sRNA de la boîte C/D ont déjà été observés à proximité de gènes fractionnés et sont également situés près du gène de l`ARN SRP permuté (Randau, 2012). La mobilité potentielle des séquences de gènes sRNA de la boîte C/D fera l`objet d`investigations futures. En conclusion, les événements de réarrangement du génome près des gènes ARN non codants peuvent aboutir à de nouvelles voies de maturation des molécules d`ARN universelles. Un exemple est l`occurrence observée de molécules d`ARN SRP permutées et circularisées dont la stabilité accrue devrait fournir un avantage sélectif. Lorsque l`état de la Pseudo-synchronisation est maintenu avec la valeur de la vitesse angulaire étant égale à sa valeur d`équilibre Ωeq, le transfert de l`impulsion angulaire est absent λ (Ωeq) = 0. Dans ce cas, le transfert d`énergie dans le cadre inertiel est égal au transfert d`énergie dans le cadre rotatif, et par conséquent les courbes correspondantes des figures 9, 11, 17 et 18 se croisent.

On peut voir à partir de ces figures que le point d`intersection ont des coordonnées similaires pour tous les modèles que nous considérons, et donc le taux de rotation sans dimension et la quantité ε * déterminant l`échange d`énergie par l`équation (75) ne dépendent que légèrement de la paramètres des modèles de la planète.